Voici la nouvelle exposition à la Galerie Eric Baudet du 12 janvier au 10 février 2024.

René Gouast - Dieppe hsp marouflée sur panneau 54X73 circa 1960

René Gouast né le 12 août 1897 à Bolbec et mort le 17 octobre 1980 à Paris, est un peintre français.  Il passe dix années de sa vie en Afrique, où il peint des paysages d'une nouvelle vigueur, des compositions rigoureuses aux couleurs pures. Vient le début de la Seconde Guerre mondiale, son frère est tué. Gouast ne touchera plus au pinceau pendant cinq ans.

À partir de 1945, il recommence à peindre. Dès 1948, il fait un premier grand voyage à bicyclette jusqu'à Perpignan où il retrouve Dufy, cet autre Normand. Il est en mesure d'exposer à nouveau et choisit la Normandie. Entretemps, il voyage, il remplit ses dossiers de dessins, dans lequel il puise à son retour à l'atelier. Gouast dispose de deux ateliers, l'un à Paris, l'autre à Thury, dans une vaste grange aménagée.

Vincent Derivery l'Hôtel de la Marine datée 12-10-2021

Vincent Derivéry est né à Rouen, en 1945. Il y a suivi les cours de l’école des Beaux Arts rue Martainville pendant l’année 1965/66.

C’est en 1990 qu’il commence à peindre, principalement des paysages urbains improbables et parfois abandonnés, autant de sujets auxquels peu d’artistes s’intéressent car pas assez « flatteurs » à l’œil. Il a privilégié dès le début la spontanéité en peignant toujours sur le motif, prenant soin de ne pas retoucher ses gouaches après coup.

Jacques Boscherel la plage gouache 35x35 datée 12 XII 2020

Jacques Boscherel est né en 1944 et décédé en 2022 - Cet artiste aime à rappeler avec émotion et fierté, qu’il y côtoya au sein de l’UHAP, Richard Le Cieux, Claude le Ricle, André Legallais, Roger Guerrant mousquetaires des heures de gloire d’une peinture havraise riche et inspirée. Devenu ensuite un travailleur solitaire, Jacques Boscherel nous livre ses gouaches rehaussées par fois de pastel.

Yvonne Guégan Port de Honfleur hst 55x38 ref R 89

Yvonne Guégan, née le 8 avril 1915 dans le 10e arrondissement de Paris et morte le 14 mars 2005 à Hérouville-Saint-Clair, est une artiste peintre et sculptrice française. 

À la fin de la guerre, la jeune femme rencontre le capitaine britannique Fred Mara, qui repart rapidement pour de nouvelles missions. Pour le retrouver, Yvonne Guégan se rend à plusieurs reprises en Angleterre, d'où elle ramènera plusieurs toiles. Elle se rend également en Écosse, invitée par le colonel écossais Usher. Ce séjour est l'occasion pour elle de découvrir de nouveaux paysages et de faire connaître son travail. En août 1949, elle expose en Suède. Les paysages montagneux l'inspirent. En 1951, elle est invitée en Espagne et y découvre une lumière nouvelle loin de la grisaille des pays du Nord. Elle y fait la connaissance du sculpteur Placido Fleitas auquel elle se lie très rapidement. Cette grande série de voyages se poursuit en Italie, où Yvonne Guégan part sur les traces des grands maîtres, puis en Allemagne, en Suisse et en Autriche.

Henri Hayden Vue sur Ussy huile sur toile 54x73 datée 59

Henri Hayden est un peintre et lithographe français d'origine polonaise, né le 24 décembre 1883 à Varsovie et mort à Paris le 12 mai 1970. Henri Hayden, « sous la pression parentale », suit en 1902 des études d'ingénieur à l'École polytechnique de Varsovie, s'inscrivant parallèlement à l'École des beaux-arts. En 1907, il s'installe à Paris dans un atelier situé boulevard Saint-Michel où il travaille dans une grande solitude, fréquentant cependant pendant quelques mois de l'année 1908 l'académie de peinture La Palette où enseignent Georges Desvallières et Charles Guérin. Il passe l'été 1908 à Pont-Aven, revenant en Bretagne, au Pouldu, de 1909 à 1912.

Roger Guerrant huile sur isorel 65x81 falaise d'Yport (pointe du Chicard)

Roger Guerrant est né à St Pierre en Port (le 27 septembre 1930), où il passa toute son enfance avec sa mère tandis que son père, capitaine sur les terre-neuvas, courraient les mers. Il restera toujours très attaché à ce coin venté du Pays de Caux.

Dès l’âge de 17 ans, il entre aux Etablissements Gallet (entreprise havraise de publicité de rideaux de cinéma) et dans le même temps fréquente les cours du soir de l’Ecole des Beaux-Arts sous la bienveillante attention d’Albert Copieux, son directeur.

Voici une visite rapide de cette exposition. La suite bien plus importante se trouve à la Galerie Eric Baudet

Source : 

Nouvelle année, nouvelle expo - Galerie Eric Baudet

Galerie Eric Baudet - Galerie d'art - Le Havre

https://galerie-ericbaudet.fr

Sur France2, le 30 janvier 2024, "Shoah" de Claude LANZMANN à l’occasion du 79ème anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz.

À l’occasion de la Nuit de la lecture initiée par le ministère de la Culture et le Centre national du livre, l’Institut de France propose une soirée publique intitulée « Les mille et une langues ».

Afin de partager la richesse des cultures, des études et des arts présents au sein des cinq académies (Académie française, Académie des inscriptions et belles-lettres, Académie des sciences, Académie des beaux-arts et Académie des sciences morales et politiques), l’Institut de France a choisi de faire découvrir mille et une langues pour parler du corps. Au gré de leurs intérêts et de leurs goûts, des académiciens viendront sous la Coupole lire les textes qu’ils aiment, qui piquent la curiosité ou provoquent l’étonnement. Une soirée de voyage dans l’espace et le temps pour interroger, dans la langue d’origine et en traduction française, la perception du corps des cultures anciennes ou contemporaines. Ponctué de parenthèses théâtrales, chorégraphiques et musicales, cet événement, qui fera suite au programme proposé en ouverture de la soirée par la bibliothèque Mazarine de 18h à 20h, est ouvert à tous dans la limite des places disponibles.

Inscription gratuite sur le site internet de l’Institut.

Créé en 1795, l’Institut de France a pour mission d'offrir aux cinq académies un cadre harmonieux pour travailler au perfectionnement des lettres, des sciences et des arts, à titre non lucratif.

Grand mécène, il encourage la recherche et soutient la création à travers la remise de prix, de bourses et de subventions (près de 25 millions d’euros distribués chaque année par le biais de ses fondations abritées). Placé sous la protection du président de la République, il est également le gardien d’un
important patrimoine, à commencer par le Palais du quai de Conti, quatre bibliothèques dont la bibliothèque Mazarine, ou encore de nombreuses demeures et collections qui lui ont été léguées depuis la fin du XIXe siècle. Parmi elles se trouvent le château de Chantilly, l’abbaye de Chaalis, le musée Jacquemart-André, le château de Langeais, le manoir de Kerazan ou encore la villa Kérylos.

Source : 

Institut de France - Accueil

Créé en 1795, l'Institut de France a pour mission d'offrir aux cinq Académies un cadre harmonieux pour travailler au perfectionnement des lettres, des sciences et des arts, à titre non lucratif.

https://www.institutdefrance.fr

Concert avec Astrig Siranossian, Violoncelle et Emmanuel Rossfelder, Guitare.

"Le concert en duo que nous vous proposons avec le guitariste Emmanuel Rossfelder est un voyage au soleil musical et une ode à la douceur. Nous avons à coeur de partager avec nos 10 cordes réunies un répertoire mélodieux, virtuose, audacieux que nous aurons le grand plaisir de vous expliquer de vive voix pendant le concert. Nous vous attendons avec grande hâte". Astrig Siranossian

Le château de Versailles consacre en novembre 2023 une grande rétrospective dédiée au peintre Horace Vernet (1789 - 1863). Intimement lié au Versailles de Louis-Philippe, l’artiste exécute pendant plus de treize ans certaines des plus belles toiles des Galeries historiques. Ainsi, Versailles conserve aujourd’hui la plus grande collection d’œuvres du peintre. Plus de quarante ans après la dernière exposition consacrée à Vernet, cette rétrospective d’environ 200 œuvres sera l’occasion de découvrir de nombreux chefs-d’œuvre inédits, accompagnés d’esquisses et de dessins témoignant de la méthode de travail de l’artiste.

© Château de Versailles, Dist. RMN / © Christophe Fouin

Source : 

Exposition Horace Vernet

Le château de Versailles consacre, du 14 novembre au 17 mars 2024 une grande rétrospective dédiée au peintre Horace Vernet (1789 - 1863).

https://www.chateauversailles.fr

UNE PROMENADE ÉCLAIRÉE

Cette année, le Muséum propose un voyage autour du globe à la découverte de l'extraordinaire biodiversité des forêts tropicales humides.

Réparties sur quatre continents - Asie, Océanie, Amérique du Sud, Afrique -, elles abriteraient plus de la moitié des espèces animales et végétales connues dans le monde.

Jungle en voie d’illumination donne un aperçu de cette richesse à travers un parcours foisonnant, mettant en scène des espèces caractéristiques, spectaculaires ou insolites : félins redoutables, grenouilles étonnantes, fleurs géantes et autres merveilles…

Roger Guerrant (1930-1977)

Natif de St Pierre en Port (le 27 septembre 1930), où il passa toute son enfance avec sa mère tandis que son père, capitaine sur les terre-neuvas, courraient les mers. Il restera toujours très attaché à ce coin venté du Pays de Caux.

Dès l’âge de 17 ans, il entre aux Etablissements Gallet (entreprise havraise de publicité de rideaux de cinéma) et dans le même temps fréquente les cours du soir de l’Ecole des Beaux-Arts sous la bienveillante attention d’Albert Copieux, son directeur. Sa première exposition viendra en 1956. Il participe à de nombreux salons dont celui de la jeune peinture en 1959, à Paris. Dès 1961, lauréat du prix de la ville du Havre, il reçoit les encouragements de Reynold Arnould. Parallèlement à la peinture, il s’adonne aussi à la sculpture (fer et pierre avec pour thème la falaise).

Dans les années suivantes, il expose à Eastbourne en Angleterre, à Nantes, dans les usines (années 70) à la Maison de la Culture mais aussi à Paris. Il séjourne en Vendée, dans le Tarn et s’installe définitivement en 1974 dans sa maison d’Ecretteville. Durant ces années, il réalise quelques grandes décorations murales pour des établissements scolaires et s’adonne à la poésie. Articulée autour de cinq axes majeurs : les ports, les falaises, le nu, les arbres et la végétation et les oiseaux, l’œuvre de Roger GUERRANT n’a eu de cesse d’éviter le piège de la redite. Chacune de ses créations était une remise en question ; ne déclarait-il pas : « … Ce que je sais déjà ne m’intéresse pas… ».

Sa peinture est celle d’un terrien profondément attaché aux racines. Il joue avec les masses de la nature, les imbriquant les unes dans les autres.  Au fur et à mesure de l’évolution de sa peinture, GUERRANT s’intègre de plus en plus avec ses sujets… Sa communion, avec les arbres et les falaises, est telle que sa vision devient intérieure et non plus panoramique…

La suite est à voir à la Galerie Eric Baudet

Exposition Roger Guerrant - Galerie Eric Baudet

Galerie Eric Baudet - Galerie d'art - Le Havre

https://galerie-ericbaudet.fr

Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur. Quant à Viola, héritière d’une famille prestigieuse, toutes les fées se sont penchées sur son berceau. Ces deux-là n’auraient jamais dû se rencontrer… Côte à côte, ils traversent des années de fureur quand l’Italie bascule dans le fascisme. Ils s’esquivent, se retrouvent, tour à tour amis ou ennemis, liés par une attraction indéfectible.

Jean-Baptiste Andrea est auteur, scénariste et réalisateur. En seulement quatre livres, (Ma Reine, Cent millions d’années et un jour, Des diables et des saints et Veiller sur elle), il a connu une ascension fulgurante et reçu 19 prix littéraires, dont le prix Goncourt et le prix du Roman Fnac pour Veiller sur elle.

Gustave Moreau. Ange voyageur, aquarelle et gouache sur papier,  Cat. 441

 © RMN-GP / René-Gabriel Ojéda

Gustave Moreau (1826 – 1898) participe tout au long de sa carrière à la résurrection de la période médiévale, très en vogue au XIXe siècle. En dehors des œuvres « médiévalisantes » bien connues de Moreau comme Les Chimères ou Les Licornes, le Moyen Âge traverse tout son art, depuis les peintures romantiques des années 1850 inspirées notamment par Shakespeare jusqu’à ses œuvres syncrétiques, ultimes travaux des années 1890.

L’étude du processus créatif sera au cœur de cette exposition qui ambitionne de valoriser les sources de l’univers médiéval du peintre.

La présentation d’œuvres de Gustave Moreau (peintures, aquarelles, dessins), dont certaines seront sorties des réserves pour l’occasion, en regard des photographies, des estampes, des livres et objets d’art (dont quelques prêts prestigieux du musée du Louvre et de la Bibliothèque Nationale de France) permettra de mettre en valeur les réinventions médiévales du peintre durant la seconde moitié du XIXe siècle.

© RMN-GP / Sylvain Sonnet

Après la mort de ses proches, Gustave Moreau se retrouve seul. Il décide alors de faire agrandir sa maison-atelier pour laisser son oeuvre à la postérité.

En avril 1895, il charge l’architecte Albert Lafon de transformer sa maison en musée. L’architecte surélève et élargit la maison et conçoit une nouvelle façade. De nouvelles pièces sont aménagées au 1er étage, côté rue, et les 2e et 3e étages deviennent de grands ateliers vitrés.

A partir de 1896, l’artiste classe et choisit ses dessins et ses peintures, leur apporte une dernière touche et en agrandit certains. Enfin, dans son testament en septembre 1897, il lègue à l’Etat sa maison et tout ce qu’elle contient et confie à son fidèle ami Henri Rupp (1837-1918) le soin de parachever son projet.

En janvier 1903, cinq années après la mort de Gustave Moreau, le musée ouvre ses portes au public.

L’accrochage est resté inchangé depuis : les tableaux sont accrochés à « touche-touche », sans-soucis d’un parcours chronologique ou thématique. Sur quatre niveaux, la maison-musée dans laquelle sont conservées près de 25 000 œuvres, dévoile les multiples facettes du maître symboliste permettant ainsi, selon ses dernières volontés, « de constater la somme de travail et d’efforts de l’artiste pendant sa vie ».

Source : Gustave Moreau. Le Moyen Âge retrouvé

Malgré ses nombreuses réalisations, le nom de Noël Coypel est aujourd'hui éclipsé par celui de ses fils : Antoine et Noël-Nicolas Coypel ainsi que son petit-fils Charles-Antoine Coypel. À travers une sélection de plus de 80 oeuvres (peintures, dessins, cartons de tapisseries, etc.), cette exposition permet de souligner les talents de coloriste et de dessinateur de Noël Coypel.

La première partie de l'exposition prend place dans la Galerie des Cotelle au Grand Trianon, où sont présentées les oeuvres retraçant les grandes réalisations du peintre. C'est une occasion inédite de découvrir des décors disparus, comme le petit appartement du roi aux Tuileries, des ensembles peints pour le Grand Trianon ainsi que des réalisations encore visibles aujourd'hui, notamment au Parlement de Bretagne à Rennes et à l'église royale des Invalides. Ces derniers seront visibles grâce à des dispositifs numériques.

Le parcours se poursuit dans le Grand appartement de la Reine au château de Versailles, avec la présentation de dessins et d’esquisses en relation avec le plafond de la salle des Gardes de la Reine, décor réalisé par Coypel, et qui a fait l’objet d’une restauration entre 2015 et 2017.

En prolongement de cette exposition, le musée des Beaux-Arts de Rennes organisera à son tour une exposition en partenariat avec le château de Versailles sur l’ensemble de la carrière du peintre en 2024.

Noël Coypel (1628-1707)

© Château de Versailles, Dist. RMN / © Christophe Fouin

Fondateur d’une dynastie de peintres, Noël Coypel (1628-1707) s’illustre brillamment dans plusieurs domaines : plafonds, peintures de chevalet, arts graphiques ou cartons de tapisserie. 

Après avoir reçu une première formation à Orléans, il revient à Paris et participe aux décors de l’opéra Orfeo de Luigi Rossi. Repéré par le peintre Charles Errard, alors directeur des décors royaux du Louvre, le grand décor devient la partie essentielle de son activité : ceux des résidences royales (les Palais du Louvre, des Tuileries, de Versailles et de Trianon), tout comme ceux du Parlement de Bretagne, à Rennes, ou de l’église royale des Invalides.

En parallèle, Noël Coypel franchit avec brio les étapes de la carrière académique. Reçu en 1663 à l’Académie royale de peinture et de sculpture, il est, dès 1664, nommé professeur, avant de prendre la tête de l’Académie de France à Rome de 1673 à 1675, puis celle de l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1695.

Le triomphe de Saturne (vers 1671 - 1672)

Le char de Jupiter entre la Justice et la Piété (vers 1671-1672)

Source : Noël Coypel peintre de grands décors

Océan dans le ciel ? Non, ce n’est pas le prochain film de Hayao Miyazaki mais des vues oniriques vues à Kinosaki Onsen. L'expérience d'un "unkai", ou mer de nuages, figure sur la to-do liste de nombreux visiteurs en automne. Comme son nom l'indique, la mer de nuages est un phénomène naturel qui se produit lorsque de fortes différences de température de l'air provoquent l'étalement horizontal des nuages à basse altitude. Ce phénomène se produit souvent tôt le matin en automne, offrant un spectacle naturel inoubliable depuis les sommets des montagnes de Kinosaki Onsen et d'ailleurs. Vous trouverez ci-dessous 4 des meilleurs endroits pour augmenter vos chances d'apercevoir les vagues blanches et ouatées.

Palais du Dragon à Hiyoriyama

Sur la côte de Kinosaki, la ville de Hiyoriyama abrite le Palais du dragon, qui rappelle le palais du même nom du conte populaire japonais Urashima Tarō. En automne, les premières heures du matin sont le moment idéal pour admirer l'un des spectacles les plus spectaculaires de la région : notre fameuse mer de nuages. À 700 mètres du poste d'observation situé sur la rive, une cascade de nuages se jette contre le palais du dragon en vagues éthérées. Préparez un en-cas léger, faites du vélo jusqu'à la côte depuis le centre de Kinosaki Onsen et imprégnez-vous de l'ambiance matinale.

Mont Kuruhi à Kinosaki Onsen

Si vous cherchez où aller par un matin brumeux d'automne, le mont Kuruhi est l'endroit idéal. Sans doute le lieu le plus connu de notre liste, les vagues atmosphériques hypnotiques du mont Kuruhi au-dessus de la rivière Maruyama accueillent aussi bien les photographes professionnels que les voyageurs occasionnels, tous à la recherche de l'ultime cliché d'automne, au-delà des habituelles feuilles rouges et oranges.Juste au sud du centre ville de Kinosaki Onsen, la plate-forme d'observation du sommet, à 566,6 mètres, est accessible en voiture en 30 minutes environ.

Ruines du Chateau d’Arikoyama à Izushi

Les amateurs de fantaisie considèrent les ruines du château d'Arikoyama, au sommet de la montagne, dans la ville voisine d'Izushi, comme le Saint-Graal des visites d'automne. Parsemé de ruines de château laissées par l'attaque du seigneur féodal Toyotomi Hideyoshi en 1580, le sommet de 321 mètres du mont Arikoyama ressemble étrangement à un château dans le ciel. La randonnée commence par un escalier qui traverse les portes torii rouges du sanctuaire d'Arikoyama Inari. À un rythme tranquille, les randonneurs peuvent atteindre les ruines en une heure ou une heure et demie. Le sentier est escarpé pendant la première moitié de la randonnée et devient moins intense au fur et à mesure que les randonneurs atteignent le sommet.

Mont Daishi, Kinosaki Onsen

Le mont Daishi de Kinosaki Onsen peut se vanter d'avoir obtenu une étoile Michelin grâce à ses vues panoramiques spectaculaires, et bien sûr, la mer de nuages qui s'étend dans le ciel au petit matin est un atout supplémentaire pour les visiteurs de l'automne. L'ascension de la base de la montagne jusqu'au sommet dure environ une heure à un rythme détendu, le hall principal du temple Onsenji servant de point de repos à mi-parcours. Prévoyez une séance matinale de pleine conscience en visitant le sanctuaire intérieur du temple Onsenji au sommet de la montagne, et pensez à vous offrir une tasse de café chaud au Miharashi Terrace Cafe (ouvert à partir de 10h00).

Des soirées de rêve au cœur du patrimoine

La Nuit des Châteaux revient pour sa 5ème édition qui aura lieu les vendredi 27 et samedi 28 octobre prochains !

Cet événement européen, imaginé par Dartagnans en 2019 en partenariat avec la Demeure Historique et le Groupe Mercure, vise à sensibiliser le grand public à la préservation du patrimoine à travers des expériences inédites : visites aux flambeaux, dîners aux chandelles, illuminations, spectacles vivants, concerts ou encore Cluedo géant.

Depuis 2019, la Nuit des Châteaux réunit des dizaines de milliers de visiteurs dans des lieux d'exception répartis sur toute la France, mais aussi en Suisse, Belgique, Espagne et République Tchèque.

Comme pour les éditions précédentes, 88% des recettes issues de la billetterie sont redistribuées aux châteaux partenaires, afin de faire vivre leurs monuments.

Dampierre (Yvelines)

Source : La Nuit des Châteaux

Nous faisons la connaissance d’Hercule Perruchon, qui se trouve en Allemagne, pendant la guerre, en STO (Service Travail Obligatoire). L’armistice est déclaré et il devrait retourner en France, mais il préfère rester auprès de Magda, car personne ne l’attend en France.

Un jour, il reçoit une lettre lui indiquant, que son père est gravement malade. Il décide donc de partir à pied pour le retrouver.

Voici que commence un long périple un peu fou à travers la France. Il va rencontrer différentes personnes sur sa route. Il va à l’occasion de ses rencontres raconter sa relation avec sa mère Marinette, son frère Maurice ainsi qu’avec son père Edouard.

L’auteur, J.Pierre Yvorra nous dresse un portrait, tout en émotion, sensibilité et bienveillance.

J’ai bien aimé ce Tome 1 et attend le Tome 2 comme nous le laisse comprendre la fin du livre.

Je remercie Daniel, attaché de communication au Lys Bleu Éditions de m’avoir proposé ce livre et de m’avoir permis de connaître cet auteur.

Résumé : La folle randonnée d’Hercule Perruchon – Tome I vous entraîne au cœur de l’aventure folle d’Hercule. Ce dernier, malgré un environnement peu favorable à son épanouissement, une mère mante religieuse trop présente, un frère cadet dépressif, poursuit sa marche solitaire, faite de rencontres exceptionnelles, vers Edouard son père gravement malade. Dans une intrigue saisissante, vous êtes invités à le suivre tout au long de son périple fait de situations plutôt surprenantes.

Venez fêter le livre sous toutes ses formes en compagnie de nombreux invités et dans différents lieux du territoire. Avec en prime la présence de la mascotte P'tit Loup, ainsi que des jeux géants et l'exposition interactive Nos héros préférés (au Moulin à Café), en partenariat avec L'École des Loisirs. Vous retrouverez ci-dessous le programme complet et détaillé de ces journées festives.

Source : Événement : Accueil 

Jean-François Moufflet, responsable du fonds des archives de la royauté (Trésor des Chartres) au département du Moyen Âge et de l'Ancien Régime, nous en dit plus sur ce parchemin. Un document unique au cœur de l'une des plus grandes « affaires » de l'histoire de France : l'arrestation des templiers, ordonnée par le roi Philippe IV le Bel.

Pourquoi les Archives nationales proposent-elles cette exposition au public, maintenant ?
Cette exposition est l'occasion de proposer une visite supplémentaire au moment où nous allons avoir une grande affluence du public, à l'occasion des Journées du patrimoine. Elle s'inscrit dans le cycle de nos expositions courtes, commencé en 2020 avec Les Essentiels.
À l'origine, le rouleau des templiers devait d'ailleurs être le dernier document présenté dans le cadre des Essentiels, à l'issue d'un vote du public.

Mais, avec ce document, nous avons choisi d'ouvrir un nouveau cycle : Les Remarquables. Et le rouleau des templiers l'inaugure.
Ce document s'y prête d'autant plus qu'il est, à la fois, remarquable par sa forme — c'est un rouleau de parchemin de 22 m, ce qui est impressionnant ! — et par son contenu.
Ce rouleau renferme, en effet, les aveux de 138 templiers emprisonnés et interrogés à Paris. Sous la torture, ils ont avoué les pratiques hérétiques dont on les accusait, ce qui a justifié ensuite l'ouverture de leur procès.

En fait, on expose des aveux obtenus sous la torture ?
Oui, les inquisiteurs ont consigné les aveux dans ce rouleau. C'est un document historiquement symbolique et lourd de sens. Il est au cœur d'une des plus grandes affaires politiques du Moyen Âge. Une affaire toujours très populaire auprès du public.
Dans le musée des Archives, situé à l'hôtel Soubise, à Paris, le rouleau est déployé sur 3 m, à l'endroit où est interrogé le grand maître de l'ordre du Temple, Jacques de Molay, figure templière sans doute la plus connue du public. Et, pour faciliter la médiation auprès des visiteurs, nous avons mis en valeur certains passages, traduits sur des cartels.

Qu'est-ce que le public peut voir, hormis le rouleau ?
Le principe de ces expositions courtes est de mettre en valeur une pièce principale. Mais, nous avons aussi deux autres documents, dans des vitrines, pour donner le contexte de cette affaire.

Tout d'abord un rouleau, produit par le bailli de Rouen, qui reproduit notamment :

une lettre contenant l'ordre d'arrestation des templiers se trouvant dans le royaume de France. Émise par le roi de France Philippe Le Bel, elle a été envoyée le 14 septembre 1307, soit un mois avant leur arrestation. Dans cette lettre, le roi s'émeut des crimes qu'il impute aux templiers. Cet ordre secret a été envoyé à tous les agents locaux du roi, les baillis et les sénéchaux, qui avaient les pouvoirs de police pour procéder aux arrestations ;
un acte royal qui détaille de façon précise comment procéder à ces arrestations : nombre de personnes à recruter pour cette opération de police, faire en sorte de prendre par surprise les templiers, les isoler à l'emprisonnement… et la manière de les interroger, y compris en autorisant le recours à la torture, pour leur faire avouer leurs « crimes », avec la liste desdits crimes !

Nous exposons aussi la bulle pontificale par laquelle le pape Clément V, en 1312, consent à supprimer l'ordre du Temple, mais sans toutefois le condamner explicitement. C'est à ce moment-là qu'il transfère les biens des templiers à un autre ordre religieux miliaire de l'époque : celui des hospitaliers, qui deviendra l'ordre de Malte.

D'autres objets facilitent l'accessibilité de cette exposition à tous les publics.
En effet, le public trouvera le moulage d'une des faces du sceau des Templiers, qui provient de nos collections – célèbre représentation de deux templiers sur un seul cheval –, ainsi qu'une plaque tactile, accessible en braille, autour des deux faces du sceau.
Le public pourra enfin découvrir le rouleau des templiers entièrement déroulé ainsi que d'autres rouleaux spectaculaires des Archives nationales dans une vidéo d'une quinzaine de minutes spécialement conçue dans le cadre de cette exposition.

Source : Accueil des Archives nationales

À l’occasion du 250e anniversaire de la naissance de Louis-Philippe, le 6 octobre 1773, le château de Versailles met à l’honneur le dernier souverain à l’avoir transformé. Du 6 au 8 octobre 2023, dans le Château, des médiateurs présenteront aux visiteurs les espaces et les œuvres les plus emblématiques du musée dédié « à toutes les gloires de la France » inauguré par Louis-Philippe en 1837. Au Grand Trianon, des visites guidées permettront au public de découvrir les lieux de vie intimes du roi et de sa nombreuse famille.

Les galeries historiques, le projet de louis-philippe pour versailles : Au XIXe siècle, Louis-Philippe décide de transformer le château de Versailles en musée. Il souhaite ainsi apaiser les esprits et réconcilier les Français après quarante années de bouleversements politiques (1789-1830). Le roi décide donc de créer des Galeries historiques où sont présentés les événements majeurs qui ont fait la gloire du pays. Le projet, lancé en 1834, est confié à l’architecte du palais, Frédéric Nepveu. Louis-Philippe suit le chantier avec beaucoup d’intérêt, et, de 1834 à 1847, fait près de 400 visites à Versailles, donnant ses instructions et réglant jusqu’au moindre détail.

Le musée est inauguré officiellement en juin 1837, il embrasse l’histoire nationale depuis les débuts de la monarchie chrétienne, incarnés par Clovis, jusqu’à sa propre accession au trône en 1830. Pour cet aménagement de nouveaux espaces sont créés dans le Château, à l’image de la galerie des Batailles, de la salle de 1830, des salles consacrées à l’Empire, ou encore de la salle du Sacre et des salles des Croisades. Près de 6 000 œuvres (dont plus de 3 000 spécialement commandées) sont alors rassemblées à Versailles pour constituer ce nouveau musée.

Source : 250e anniversaire de la naissance de Louis-Philippe

Face au changement climatique et aux poussées inflationnistes, la montagne comme tant d'autres territoires, doit aujourd'hui se réinventer et trouver des solutions permettant de concilier accueil des touristes et préservation de l'environnement. L'exercice est difficile tant trouver l'équilibre est délicat. Reste que cela est possible. La preuve ? Le Vercors s'y attèle depuis toujours, passant de territoire climatique à terre de ski puis de site olympique à terre de champions. Ici, la montagne a su bouger au gré des évolutions sociétales, sans rien perdre de son âme, de son Histoire et de son savoir-faire ; qu'il soit agricole, gourmand, sportif ou artisanal. Un héritage qui fait aujourd'hui toute la singularité d'un territoire resté sauvage et authentique, malgré les assauts de l'industrie du tourisme.

Le Vercors continue de se positionner comme un territoire dans lequel il est possible d'apprendre à skier, de profiter des joies de la glisse et de découvrir la neige. Le relief s'y prête, les infrastructures aussi. Ses habitants plus encore, tant ils ont à coeur de faire découvrir aux plus jeunes ce massif sans équivalent ; où la nature, sauvage et miraculeusement préservée des Hauts Plateaux, se dévoile à trois heures de train de Paris. Preuve s'il en faut que la magie, parfois, reste accessible à tous.

Source : Massif du Vercors - Communauté de Communes

Véritable voyage dans le temps et dans l’histoire de la Cathédrale Saint-André, LUMINISCENCE invite petits et grands à revivre l’émotion originelle, celle qu’ont cherché à susciter ses grands bâtisseurs au XIIème siècle, et surtout celle des millions de personnes qui ont visité ce lieu emblématique au fil des siècles suivants.

C’est notamment dans cette cathédrale qu’ont eu lieu d’historiques mariages, comme celui d’Aliénor d’Aquitaine avec Louis VII en 1137 ou de Louis XIII
avec Anne d’Autriche en 1615. Les projections subliment les qualités architecturales et les vitraux de la cathédrale, depuis son emprise majestueuse au sol jusqu’à l’élancement de ses voûtes à plus de 20 mètres de hauteur.

En associant vidéo mapping 360 degrés et son spatialisé 3D, LUMINISCENCE offre aux spectateurs une plongée immersive au cœur de l’histoire de ce monument majestueux.